💥 Violences, casseurs : où était le ministre de la parole ?

Comme à chaque fête populaire, la capitale de la France devient le terrain de jeu des racailles : une exception française dont on se passerait bien. 

Toujours les mêmes profils et toujours la même impuissance d’État. Ce n’est plus seulement un grave problème d’insécurité : c’est toute l’image de la France qui est ternie dans le monde.

Le risque sécuritaire de cette soirée a été manifestement sous-estimé, et le dispositif sous-dimensionné : Paris a été livrée aux émeutiers.

Bruno Retailleau a évoqué des « barbares » dans les rues de Paris : nous avons la démonstration supplémentaire que les mots, même durs, ne remplaceront jamais l’action. Il devra s’expliquer sur ce fiasco. 

Rien n’a été anticipé par le ministre de l’intérieur. Bruno Retailleau, n’était d’ailleurs ni en cellule de crise, ni sur le terrain. C’était son premier test d’ampleur : il l’a raté.

Alors que le Premier ministre est porté disparu, son ministre de l’Intérieur est dans le déni : qui va porter la responsabilité de ce qui s’est passé dans la nuit de samedi à dimanche en France ?

En n’ayant ni la lucidité ni l’honnêteté de reconnaître ce chaos, et d’en nommer les causes, le laxisme sécuritaire et l’immigration incontrôlée, Bruno Retailleau se condamne définitivement à l’échec.

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